C'est ce que s'apprête à tester une compagnie aérien. Scandinavian Airlines va tester une procédure d'approche de ses avions par satellite, tout ça dans le but de réduire la consommation de carburant des avions et les émissions de CO2. En tout et partout, le pilote pourra économiser 100 kg de carburant.
Il faut dire que la descente est une phase du vol qui nécessite beaucoup de carburant d'autant plus qu'elle réclame des distance parfois assez longue. L'approche par satellite consiste à mettre les réacteurs au point mort et à laisser l'avion planer en automatique, suivant une stratégie optimale fournie par satellite. Le pilote reprend les manettes ensuite, juste avant la phase d'atterrissage.
Si cette procédure est homologuée par les autorités de l'aviation civile et si le test réussit, elle pourra être étendue à de nombreuses lignes opérées par la compagnie, qui la juge plus particulièrement adaptée aux aéroports peu fréquentés et entourés par un relief accidenté.
Il faut dire que la descente est une phase du vol qui nécessite beaucoup de carburant d'autant plus qu'elle réclame des distance parfois assez longue. L'approche par satellite consiste à mettre les réacteurs au point mort et à laisser l'avion planer en automatique, suivant une stratégie optimale fournie par satellite. Le pilote reprend les manettes ensuite, juste avant la phase d'atterrissage.
Si cette procédure est homologuée par les autorités de l'aviation civile et si le test réussit, elle pourra être étendue à de nombreuses lignes opérées par la compagnie, qui la juge plus particulièrement adaptée aux aéroports peu fréquentés et entourés par un relief accidenté.
2 commentaires:
Je ne comprends pas bien le terme "approche par satellite".
Il me semble que c'est une approche planée avec descente continue.
Je n'ai pas entendu parler d'un moyen de guidage particulier.
Peut-être est-ce une approche guidée par GPS?
Bonjour! Effectivement, c'est une approche guidée par GPS.
Traditionnellement les avions effectuent une descente par paliers contrôlée par le pilote. Mais une nouvelle procédure d’atterrissage plus économe en énergie sera réalisée avec un Boeing 737 à Tromso, au nord de la Norvège.
Pour atterrir en diminuant la consommation de carburant, le pilote du boeing 737 de SAS va mettre les réacteurs au point mort et laisser planer son avion. L’appareil sera alors pris en charge par un satellite qui lui donnera la meilleure trajectoire!
Voilà! :)
C'est bien quand même quand on sait que les avions sont responsable de 2 pourcent des émissions de CO2!
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