En mon sens, je pense qu'il est un peu moins facile de survivre à un crash en hélicoptère qu'en avion où on peut encore planer pendant quelques temps. La marge de manœuvre n'est-elle pas un peu moindre pour un hélicoptère?
Enfin bref, quoi qu'il en soit la NASA teste actuellement une sorte de coussin gonflable pour les hélicoptères. Ces coussins sont constitués de Kevlar et serait donc fixés sous l'habitacle de l'aéronef. Et ça semble bien fonctionner!
Les premiers tests sont actuellement réalisé sur un MD-500 qu'on a lâché à près d'une douzaine de mètres à l'aide d'un câble. Cette simulation, avec 4 mannequins à bord à pour objectif de mesurer les impacts d'un atterrissage en catastrophe. Comme vous constaterez dans cette vidéo, malgré un atterrissage plutôt brutal, les occupants de l'appareil n'auraient été que légèrement blessés. Nous tenons à préciser que pour augmenter l'efficacité du test, les mannequins ont même été équipés d'organes humains. Ces mêmes chercheurs rappellent que lors de crashs aériens, que ce soit avec un hélicoptère ou un avion léger, la vitesse d’impact avec le sol est en général relativement faible, mais que la structure des appareils étant beaucoup plus légère que celle d’une voiture et surtout ne disposant pas des mêmes renforts, l’énergie cinétique n’est pas absorbées par la cellule. D’où la vulnérabilité des occupants.
Enfin bref, quoi qu'il en soit la NASA teste actuellement une sorte de coussin gonflable pour les hélicoptères. Ces coussins sont constitués de Kevlar et serait donc fixés sous l'habitacle de l'aéronef. Et ça semble bien fonctionner!
Les premiers tests sont actuellement réalisé sur un MD-500 qu'on a lâché à près d'une douzaine de mètres à l'aide d'un câble. Cette simulation, avec 4 mannequins à bord à pour objectif de mesurer les impacts d'un atterrissage en catastrophe. Comme vous constaterez dans cette vidéo, malgré un atterrissage plutôt brutal, les occupants de l'appareil n'auraient été que légèrement blessés. Nous tenons à préciser que pour augmenter l'efficacité du test, les mannequins ont même été équipés d'organes humains. Ces mêmes chercheurs rappellent que lors de crashs aériens, que ce soit avec un hélicoptère ou un avion léger, la vitesse d’impact avec le sol est en général relativement faible, mais que la structure des appareils étant beaucoup plus légère que celle d’une voiture et surtout ne disposant pas des mêmes renforts, l’énergie cinétique n’est pas absorbées par la cellule. D’où la vulnérabilité des occupants.
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